La génération Z est la génération la plus préoccupée par l’impact environnemental.
Alors qu’une nouvelle décennie commence, deux des plus grands défis pour les voyages sont le changement climatique et le sur-tourisme. Cependant, une enquête auprès des jeunes au sein de la démographie Génération Z montre un sens clair de la responsabilité de la façon dont ils voyagent et la volonté de modifier leurs décisions de réserve pour le bien de la planète.
L’enquête sur les voyages “État de la génération Z»A été menée par une agence d’enquête indépendante, qui a interrogé 1 070 jeunes hommes et femmes âgés de 16 à 24 ans, originaires du Royaume-Uni. Certains étaient à l’école, certains à l’université et certains avaient un emploi.
Le résultat a montré que 44% de la génération Z sont d’accord (34,5%) ou tout à fait d’accord (9,5%) avec l’affirmation «Je pense beaucoup à l’impact environnemental de mon voyage». (38,5% ni d’accord ni en désaccord, 11% en désaccord, 6,5% en désaccord.)
Parmi ceux qui ont déclaré penser à l’impact environnemental de leurs vacances, 65% envisageraient de prendre un train plutôt qu’un avion pour réduire leur empreinte carbone. 57% réserveraient un hôtel vert, 48% utiliseraient une agence de voyage éthique et 48% paieraient pour la compensation carbone.
Pendant ce temps, 49% sont d’accord (36%) ou tout à fait d’accord (13%) que les sites du patrimoine mondial de l’UNESCO tels que le Machu Picchu, la Grande Barrière de Corail, Uluru (Ayers Rock) et Angkor Wat Ils devraient limiter le nombre de visiteurs autorisés. (20% ni d’accord ni en désaccord, 3% en désaccord et 28% en désaccord.)
“Alors que les générations plus âgées – la génération Y et la génération X en particulier – voyagent sans se soucier du nombre de vols qu’elles prennent en un an ou de ce que cela signifie de marquer les sites les plus célèbres du monde sur leurs listes, Génération Z Il démontre une volonté d’adopter des modes de transport moins polluants et une très réelle préférence pour la réservation auprès d’hôtels éco-responsables et de voyagistes éthiques. Ils sont même prêts à payer de leur propre poche la compensation carbone. »
