L’Union européenne est préoccupée par la protection des données dans la pandémie
L’Union européenne a averti ses membres que même en cas de pandémie (sans précédent pour la génération actuelle), ils n’ont aucune raison d’être laxistes dans leurs réglementations en matière de protection des données. Les États membres ont essayé d’utiliser la technologie pour identifier les patients infectés par le coronavirus, afin qu’ils puissent être mis en quarantaine.
Depuis le début de la pandémie, les gouvernements et les parties prenantes impliqués dans la lutte contre le virus s’appuient sur l’analyse des données et les technologies numériques pour faire face à cette menace. le application mobile Ils ont été utilisés dans certains pays et sont considérés dans d’autres comme une réponse complémentaire à la nécessité de tester rapidement les infections.
Déclaration UE
Dans une déclaration commune publiée aujourd’hui, la Présidente du Comité «Convention 108» du Conseil de l’Europe, Alessandra Pierucci, et le Commissaire à la protection des données du Conseil de l’Europe, Jean-Philippe Altera, ont mis en garde contre les effets secondaires possibles des demandes de suivi des contacts numériques dans la prévention de la pandémie COVID-19.
Dans le même esprit, ils ont exigé que des mesures de sécurité adéquates soient mises en Informations personnelles et la vie privée. La déclaration a été émise pour rappeler aux pays membres que chaque fois qu’ils présentent des mesures avec des réglementations juridiques et techniques strictes, elles devraient l’être en premier lieu, afin d’aider à atténuer les risques pour la protection des données personnelles et de la vie privée.
“Si ces applications sont déployées, ce ne devrait être que pour une durée limitée et uniquement sur une base volontaire, cela ne peut pas être forcé.” Ces applications doivent inclure des spécifications par conception pour empêcher ou minimiser les risquespar exemple, pour garantir que les données de localisation des personnes ne sont pas utilisées, que l’identification directe n’est pas possible ou que la ré-identification est empêchée », indique le communiqué.
