Siège central de l’avion – La pandémie peut-elle y mettre fin?

La plupart des voyageurs n’aiment pas être placés dans le siège central d’un avion, mais ce ne sera pas un problème dans le futur immédiat des vols. Plusieurs compagnies aériennes ont pris la décision d’éviter de placer les passagers sur le siège central redouté pour le moment, afin d’aider à freiner la propagation du COVID-19.

Les compagnies aériennes qui ajustent leurs sièges pour faciliter la distanciation sociale comprennent Qantas, Delta, Alaska et Spirit. American Airlines a adopté l’approche de ne pas placer de passagers dans 50% de ses sièges, et JetBlue n’attribue pas de passagers à environ un tiers de ses sièges et n’attribue pas de sièges pour maintenir la distance entre les clients qui ne voyagent pas ensemble. D’ailleurs, la plupart des compagnies aériennes essaient également de protéger les participants en laissant un distance entre les sièges de passagers.

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Espacer les gens a été facile à bien des égards, car il y a moins de gens qui voyagent actuellement. Le problème pour les compagnies aériennes est que le fait de laisser un tiers des sièges vides affecte négativement le facteur de charge dont les compagnies aériennes ont besoin pour couvrir leurs coûts d’exploitation, et bien que cela soit nécessaire maintenant, que se passera-t-il à l’avenir? Les experts en voyages soupçonnent que si cette pratique se poursuit, le prix des billets pourrait augmenter pour compenser le déficit.

Ceux qui doivent voler viennent pour profiter d’un espace supplémentaire avec eux, car c’est toujours une chose confortable lorsque cela se produit. En fait, s’asseoir à côté d’un siège vacant est si convoité qu’une compagnie aérienne a introduit un nouveau tarif l’année dernière qui garantit un siège central vide à vos côtés lors d’un voyage de courte distance, en veillant à ce que les passagers n’aient pas à porter les coudes envahissant leur espace.